Cette ronde traditionnelle bouriate revêt une signification rituelle. Elle est liée au mouvement apparent du Soleil.
Jadis, ces rondes faisaient partie des rites chamaniques. Il existe une autre version qui suggère que yokhor serait lié à la chasse - les Bouriates enfermaient l’animal sauvage dans le cercle.
Yokhor se déroule en trois temps : un mouvement lent avec des chants en guise d’accompagnement, puis la ronde se resserre davantage, le rythme s’accélère et les personnes engagées dans la danse se mettent à sauter et même courir.
Les mouvements des danseurs varient selon les régions, et à ce jour on distingue huit principaux types de cette danse.
Les Bouriates sont convaincus que plus les participants à la ronde sont nombreux, plus la nouvelle année sera prospère.
Dans cette vidéo, découvrez Yssyakh, le «Nouvel An» iakoute cémébré en plein été
Chers lecteurs,
Notre site web et nos comptes sur les réseaux sociaux sont menacés de restriction ou d'interdiction, en raison des circonstances actuelles. Par conséquent, afin de rester informés de nos derniers contenus, il vous est possible de :
Dans le cadre d'une utilisation des contenus de Russia Beyond, la mention des sources est obligatoire.
Abonnez-vous
gratuitement à notre newsletter!
Recevez le meilleur de nos publications directement dans votre messagerie.