

Piotr Krivonogov, Les défenseurs de la forteresse de Brest (1951) // La forteresse de Brest était en première ligne face à l’invasion allemande du 22 juin 1941. Elle fut rapidement encerclée puis franchie par l’ennemi. La résistance continua jusqu’à fin juillet.
O. Ignatovitch/Sputnik
Nikolaï Prissekine. Temps durs.
Studio d'art militaire Grekov
Konstantin Vassiliev. L’adieu de Slavianka (1974) // La marche patriotique russe L’adieu de Slavianka a été composée en 1912 en hommage aux femmes accompagnant leurs maris qui partaient au front. Très populaire dans l’Empire russe et en URSS, elle est toujours aussi appréciée de nos jours en Russie.
Konstantin Vassiliev
Boris Tarelkine, Camarades (1983)
Musée national d'art de Tchouvachie
Nikolaï Bout. Lettre à la Mère (1970)
Nikolaï Bout
Sergueï Guerassimov, Mère d’un Partisan (1943-1950)
O. Ignatovitch/Sputnik
Fiodor Oussypenko. Opération de nuit (1958)
Legion Media
Marat Samsonov. Sœur de la Miséricorde (1954)
Musée central des forces armées
Alexandre Deïneka. La Défense de Sébastopol (1942) // Il ne s'agit pas d'une représentation fidèle du siège de Sébastopol, mais d'une image symbolique d’un combat entre deux forces: une masse d’envahisseurs sombres sans visage contre des marins soviétiques en uniforme d’un blanc éclatant.
I. Kogan/SputnikLire aussi : Les dix tableaux que n’importe quel Russe connaît sur le bout des doigts

Irina Baldina. Natacha Katchouïevskaïa – l’héroïne de l’Armée rouge durant la Bataille de Stalingrad (1984) // Cette infirmière a sauvé à elle seule près de 20 soldats. À court de munitions, elle utilisa sa dernière grenade pour se faire exploser, tuant avec elle les ennemis qui l’encerclaient.
Irina Baldina
Alexandre Deïneka. L’as abattu (1943)
A. Sverdlov/Sputnik
Piotr Maltsev. Tempête sur le Mont Sapoun (1958) // Le mont Sapoun fut un solide point de résistance allemand durant la libération de Sébastopol par l’Armée rouge. Les Soviétiques versèrent leur sang durant des heures pour s’en emparer. Après sa capture, le contrôle de la ville échappa aux nazis.
Aleksandr Krassavine/Sputnik
Evseï Moïsseïenko. Victoire (1972)
Musée Russe
Piotr Krivonogov. La capitulation de Berlin (1946)
Piotr Krivonogov
Koukryniksy. La Fin (1947-1948) // « Koukryniksy » combinait les noms de trois caricaturistes : Mikhaïl Kouprianov, Porfiri Krylov et Nikolaï Sokolov.
Getty Images
Piotr Krivonogov. Victoire (1948)
Vladimir Vdovine/Sputnik
Mikhaïlo Khmelko. Triomphe de la Mère Patrie victorieuse (1949)
Galerie Tretiakov
Andreï Gorski. Porté disparu 1946 (1962)
Andreï Gorski
Igor Kravtsov. Le Dernier Salut (2010)
Igor KravtsovDans cet autre article, nous vous présentons cinq nouveaux succès cinématographiques russes dédiés à la Seconde Guerre mondiale.
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